Louis XVIII
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Louis XVIII
Extrait de la correspondance de Talleyrand et du roi Louis XVIII dans la préface de Maggiolo:
Mr Pozzo di Borgo n’avait jamais renoncé à faire prévaloir cette politique d’alliance intime entre la France et la Russie, qui tentée à Tilsitt, reprise au congrès de Vienne, ou le représentant su Tsar voulait la sceller par le mariage du duc de Berry avec la sœur de l’empereur Alexandre, n’avait jamais cessé d’être son principal objectif pendant toute la durée de la Restauration. On sait aujourd’hui, qu’au moment où la révolution éclata, les idées de Mr Pozzo, étaient sur le point de se réaliser. La France avait la promesse des bords du Rhin ; la Russie avait licence de pousser jusqu’à Constantinople, et l’expédition d’Alger, faite à ce moment même, malgré le mauvais vouloir de l’Angleterre, est un indice qui dans ce système d’alliance et de partage, la France était admise à prendre une part de l’empire Ottoman.
Il est inutile de rappeler qu’Alger, comme toute la côte barbaresque, était à cette époque vassale et tributaire du Sultan de Constantinople.
Mr Pozzo di Borgo n’avait jamais renoncé à faire prévaloir cette politique d’alliance intime entre la France et la Russie, qui tentée à Tilsitt, reprise au congrès de Vienne, ou le représentant su Tsar voulait la sceller par le mariage du duc de Berry avec la sœur de l’empereur Alexandre, n’avait jamais cessé d’être son principal objectif pendant toute la durée de la Restauration. On sait aujourd’hui, qu’au moment où la révolution éclata, les idées de Mr Pozzo, étaient sur le point de se réaliser. La France avait la promesse des bords du Rhin ; la Russie avait licence de pousser jusqu’à Constantinople, et l’expédition d’Alger, faite à ce moment même, malgré le mauvais vouloir de l’Angleterre, est un indice qui dans ce système d’alliance et de partage, la France était admise à prendre une part de l’empire Ottoman.
Il est inutile de rappeler qu’Alger, comme toute la côte barbaresque, était à cette époque vassale et tributaire du Sultan de Constantinople.
Re: Louis XVIII
Je ne point faire à la France l'affront de lui imposer mes couleurs; reprenons le drapeau blanc qui est le sien. (Louis XVIII au maréchal Massena)
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